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isabelle debré sénateur ump - Page 7

  • ELECTIONS LEGISLATIVES A VANVES : LENDEMAINS DE SECOND TOUR (Suite et Fin) ET DEJA LES MUNICIPALES EN LIGNE DE MIRE

    Aux lendemains de ses élections législatives dans les Hauts de Seine, chacun est resté sur ses position : « Les socialistes nous avaient annoncés, avant les élections, que le PS prendrait 4 siéges à la droite. En réalité, il ne voulait pas nous dire qu’ils en prendraient déjà 2 au PC dés le 1er tour, qui se voit amputé des 2/3  de ses parlementaires. On est sans pitié avec les alliés ! A droite, nous avons perdu deux siéges…parce que nous n’avons pas toujours été suffisamment vigilant dans nos campagnes. Contrairement à ce que l’on a dit, il n’y a pas de tremblement de terre dans les Hauts de Seine » qui « subissent le courant politique qui s’est déployé sur l’ensemble de la France » a déclaré Patrick Devedjian (UMP), président du Conseil Général  qui veut jouer maintenant au patron de l’UMP 92,  en préconisant d’accepter « de se rassembler dans nos diversités. La droite est diverse, et de plus en plus. Nous devons l’accepter parce qu’elle correspond au corps électoral qui veut à côté de ses grandes forces, qu’il y ait place pour l’expression d’autres sensibilités. A l’UMP, nous n’avons pas été assez précautionneux de ce point de vue pour laisser s’exprimer davantage les autres sensibilités à côté de nous ! Je souhaite qu’à l’avenir dans ce département qui est tellement observé, jalousé, critiqué souvent même vilipendé, nous ayons la sagesse de nous rassembler en acceptant nos différences ». Pascal Buchet, secrétaire fédéral du PS 92 réagissait de son côté en expliquant que « Les socialistes qui n’avaient aucun député depuis 1993, en ont quatre (Alexis Bachelay, Julie Sommaruga, Sébastien Pietrasanta et Jean Marc Germain). C’est une victoire impressionnante des socialistes et une défaite toute aussi impressionnante de Sarkozy dans son fief. Au-delà des succés des socialistes, nous voyons à quel point dans de nombreuses circonscriptions, les écarts sont très faibles. C’est la sarkozie et sa ligne dure qui a été battu (Guéant, Pemezec, Aeschlimann) »

     

    Deux leçons ont été tiré du scrutin tant du côté  des gaullistes que des centristes à travers les réactions de nos édiles locaux ses derniers jours. JF Copé, secrétaire génaral de l’UMP,  lors de son déplacement à Levallois pour soutenir Patrick Balkany, député-maire UMP de Levallois,  avait déjà annoncé ce qu’il a déclaré sur les plateaux TV Dimanche : Lancer une grande campagne de mobilisation à la Rentrée.  Selon les derniers chiffres, le militantisme UMP est resté très fort dans les Hauts de Seine : 13 500 militants au 31 Mai 2012 (+41% par rapport à Mai 2011) et 15 à 16 000 prévus pour Juillet 2012. « Depuis le 6 Mai, nous enregistrons 1000 adhésions par jour au niveau national : l’UMP devrait compter 280 à 290 000 adhérents fin Juillet » indiquait Roger Karoutchi, sénateur et Secrétaire Départemental UMP. Mais ce n’est pas suffisant  comme il l’a bien expliqué ses derniers temps : « La formation unifiée créée en 2002 permet d’assurer la présence au sdecond tour, mais elle n’a pas les réserves nécessaires pour dépasser ses objectifs. Le vrai sujet maintenant, c’est de savoir s’il peut y avoir une grande famille centriste non intégrée à l’UMP organisée à nos côtés ».

     

    Dans le même temps, Chantal Brault, maire adjoint à Sceaux,  qui a été une responsable du Modem 92 et a pris ses distances avec François Bayrou lorsqu’il a pris fait et cause pour François Hollande, expliquait lors de la soirée électorale du Conseil Général dimanche : « Les cartes vont être rebattues, nous allons nous réorganiser, car nous ne pouvons pas continuer comme cela, car il y a un problème de gouvernance au Mouvement Démocrate. Si nous pouvons rassembler le centre, lui donner une visibilité dans ce département, re-constituer les troupes, les rassembler et peser dans le débat départemental et national, c’est mon espérance. Je sais que ce sera compliqué, un peu long. Mais il faut y arriver sans perdre son âme et son identité. Patrick Devedjian a dit « on se rassemble avec nos diversités ». Nous avons aussi des diversités. On essayera de les rassembler pour être une force qui  compte dans le département »... avec le NC, avec la Majorité Départementale (?) qui restent très discret sur ce point là      

     

     

    Enfin, ils ne  cachent pas que ses élections législatives annoncent les municipales : « Il y a des villes où on peut avoir une stratégie pour 2014. Et des villes où il y a besoin de rajeunir les équipes pour les garder ! » constatait, en autre, JJ Guillet président de l’UMP 92 et député de la 8éme circonscription (Meudon). Vanves est concerné bien sûr comme toutes les autres villes. André Santini (NC) insistait lundi soir lors d’une soirée UMP/NC de remerciements aux militants qui avaient participé à sa campagne, sur la nécessité de travailler  en union pour 2014, de parler du bilan (extraordinaire) de la municipalité de Vanves, de revoir certaines méthodes etc…. « On n’a plus la possiblité de faire des guerres d’égo, ni d’avoir d’état d’âmes » ajoutait Bernard Gauducheau (NC). « Je ne suis pas inquiet pour les municipale. Nous avons un bon bilan, une bonne équipe. Nous allons travailler ensemble. Et nous allons retrouser nos manches ! » expliquait Isabelle Debré (UMP). Histoire de poser le débat à droite : Une liste d’union ou deux listes pour ratisser large !      

     

    Du côté de l’opposition municipale, c’est encore l’inconnu, dans la mesure où il n’est pas sûr que Guy Janvier (PS) conduise la liste en 2014. Un nom circule sous le manteau, Nicolas Chaigneau  (PS) qui a été le directeur de campagne de Guy Janvier en 2008. La section PS a un nouveau secrétaire avec Antonio dos Santos depuis la démission de Fabian Estellano nommé en Province dans la Région du Chabichou. Enfin du côté des Verts, il en est de même à moins que Lucile Schmid  ne décide de prendre la tête des Verts en 2014 dans la foulée des élections législatives. Car tous ont bien remarqué que « Vanves fait partie des villes qui ont subis de plein fouet la progression de la gauche » à l’occasion de ses élections législatives. Socialistes et écologistes veulent en profiter alors qu’à droite ils se rassurent en expliquant « Il n’y a pas qu’à Vanves qu’on a voté à Gauche ». Quant à faire des prévisions, laissons cela à ces fameux commentateurs du dimanche soir et éditorialistes du Lundi matin qui font des plans sur la cométe.

  • LE GRAND DEBAT A VANVES : D’UN PREAU D’ECOLE A UNE PIZZERIA ET DES RUES DESERTEES

    A Vanves, comme dans beaucoup d’autres communes, les deux camps, hollandais d’un côté, sarkozyste de l’autre, ont rassemblés militants, sympathisants, supporters d’un vote pour regarder ensemble le Grand Débat, hier soir, à Il Gardino autour d’une pizza pour le PS, dans le préau de l’école élementaire Larmeroux pour l’UMP et le NC autour d’un petit buffet sandwichs-vin rouge, cake/madeleine-café. Les ténors vanvéens étaient présents, Isabelle Debré (UMP) avec son équipe Voisine-Saimpert-Barois-Soubie… aux commandes,  Bernard Gauducheau, maire et quelques élus du NC d’un côté, Guy Janvier (PS) avec Jean Cyril Le Goff responsable de la campagne de F.Hollande comme organisateur de cette pizza party qui a démarré par un apéro, Fabian Estellano le secrétaire de section PS et Lucile Schmid, candidat EELV aux Législatives. Tous ont réuni une cinquantaine de militants et sympathisants dans une ambiance très écoutante et studieuse dans le préau de l’école, dans une ambiance un peu plus décontracté au 1er étage d’Il Gardino. Pendant ce temps là, les rues de Vanves étaient désertées, comme pour un grand match…de football

     

    Sous le préau le Grand  Débat a mal commencé. Aucune image sur le grand écran via Internet à cause sûrement d’un record de connexion, alors que tout fonctionnait bien juste avant. « Si cela continue, on va aller le regarder à la maison » commence à s’énerver Laurent Lacomére, maire adjoint UMP,  qui prend son parapluie et rejoint ses « penattes ». Du coup quelques uns allument leur smartphones au moment où Laurence Ferrari demandait « quels étaient leur état d’esprit ? Qu’est-ce qu’ils attendaient du débat ? ». Silence totale dans le préau plongé dans la pénombre ,  7 à 8 petits groupes s’étant formés autour des smartphones pendant que Bertrand Voisine s’échinait à régler le problème. Heureusement l’image est revenue sur le grand écran lorsque les deux candidats abordaient le théme de l’emploi.

     

    La plupart accompagnait les affirmations de Nicolas Sarkozy par des « Ah !» et plusieurs « Et tact ! ». Alors que l’on entend F.Hollande affirmer que « vous êtes depuis 10 ans au pouvoir », plusieurs participants exclament des « oh ! » des « ah ! ». Un voisin s’exclame   « Il est énervant ! Il ne tiendra pas les deux heures », lors des échanges sur le déficit et le coût des énergies fiossiles « Combien M.Hollande ? » - « Ah ça c’est très bien ! ».  Et ainsi de suite tout au long de ce débat. « Au moins, il dit la vérité »réagit Isabelle Debré lorsque F.Hollande explique comment réduire le déficit. On entend même « salopard » lorsque le candidat PS explique qu’il est prêt à prélever par l’impôt 40 Milliards. « C’est pas vrai, c’est misérabliste » réagissent plusieurs militants lorsque F.Hollande parle de créer des emplois dans l’enseignement.

     

    Autre ambiance à Il Gardino, la plupart des convives considérant que N.Sarkozy apparait plus nerveux face à un F.Hollande plus serein. Là aussi, il y a des « Ah !» et des « Oh !» aux affirmations de N.Sarkozy, mais beaucoup commentent les déclarations autour de parts de pizzas. « Ca y est, on y est ! » lorsque le droit de vote des étrangers aux élections municipales est abordé. Surtout lorsque leur candidat asséne : « Qu’est-ce qui vous permet de dire que les étrangers non communautaires sont musulmans ? ». Applaudissements.  Lorsque la question du nucléaire est soulevé, certains jeunes socialistes sortent fumer une cigarette : « c’est chiant comme sujet ! ». Les autres continuent à réagir aux propos ded F.Hollande : « Il a regardé les journalistes ! Sarkozy est nerveux ! » remarque un convive. Jean Cyril Le Goff circule avec son  smartphone en montrant la « Une » de Libération du lendemain : « Hollande préside le débat ». Lucile Schmid (EELV) confie : « C’est trop cacophonique ! C’est trop un combat de cocq ! On sent trop  d’animosité ! »

     

    A la question « quelle présidence pour ce quinquennat » le « Chef de tout et responsable de rien » de F. Hollande est très applaudit et le silence se fait d’or tout au long de sa déclaration sur le Chef de l’Etat « Moi Président… », très applaudie à la fin. Avec de très vives réactions lors de l’échange sur DKS et le « vous n’êtes qu’un calomniateur ! ». C’est fini, et les premières réactions tombent : « Il a l’étoffe d’un Président de la République. Il ne s’est pas laissé piégé. Sarkozy a parlé trop vite en le traitant de menteur. Il a abaissé le débat à la fin. F.Hollande a eu une attitude très responsable. Il a montré que ses propositions étaient crédibles. Et son mandat sera différent de celui de N.Sarkozy » confiait Guy Janvier (PS). « De ce débat, il ressort que l’expérience, la connaissance des dossiers, le voontarisme et l’énergie sont du côté de Nicolas Sarkozy » réagissait  Isabellle Debré (UMP).  

  • VANVES ET LES ELECTIONS PRESIDENTIELLES : LENDEMAINS DE 1ER TOUR AVEC UNE POLEMIQUE ET UN ANNIVERSAIRE OUBLIE

    Il restera quelques souvenirs gravés de ce 1er tour des Présidentielles 2012 à Vanves : Une photo de l’installation du bureau de vote dans la salle des fêtes de la mairie de Vanves sur les deux premières pages du Journal du Dimanche avec un article de Bruno Jeudy qui habite Vanves, titré : « 6 questions pour un premier tour ». Une forte participation des électeurs vanvéens (82,4%). Une affluence restreinte à la salle des fêtes de la Mairie pour les résultats, en dehors des vanvéens qui ont tenu les bureaux de vote, lorsqu’ils ne sont pas tout de suite rentrés chez eux pour suivre les résultats et les commentaires à la TV, et des élus dont certains ont rejoint le Conseil Général qui avait organisé une soirée électorale qui n’a pas connu la foule des grands jours.  

     

    UNE MAJORITE INQUIETE

    Bernard Gauducheau (NC)  faisait ses premiers commentaires à froid sur Vanves : « Ce sont des résultats conformes à ce que l’on pouvait attendre compte tenu des résultats nationaux. Avec une forte participation (82,4%), qui est une des meilleure, un FN à 7,6% c’est à dire contenu, ce qui est une bonne chose, et F. Bayrou qui fait un bon score de 11,14 % avec un FdeG qui a amélioré son score  (11,1%) par rapport aux élections précédentes, ce qui le met à égalité avec le Modem » constatait il en considérant que « le second tour sera bien plus serré qu’on veut bien le dire. Peut ête à cause d’un report des voix déterminant tant à droite qu’à gauche. Les 15 jours de campagne qui nous attendent sont très importants. C’est là que cela va se jouer. Et c’est là que la qualité intrinséque de chacun des candidats doit faire la différence ». Un petit plus loin, Isabelle Debré  sénateur UMP considérait que « ces résultats étaient décevants même si on s’y attendait, surtout quand son candidat n’est pas en tête.  Le Pen fait quand même 8%. On attend le second tour. Tout dépendra du report des voix. Et si on additionne, on voit bien que la France reste à droite ».

     

    La seule note encourageante durant cette soirée venait finalement de Pierre Christophe Baguet député maire NC de Boulogne qui avait constaté que dans les deux nouveaux bureaux de vote ouvert dans le Trapéze (ex-Renault) pour accueillir les nouveaux habitants et votants, Nicolas Sarkozy a fait des scores de 44 à 45% contre 20 à 22% pour François Hollande, ce qui devrait rassurer André Santini pour les législatives de Juin prochain, car ils se trouvent dans le petit bout boulonnais de sa circonscription  (10éme) comprenant Issy, Vanves et le Bas Meudon. Il est vrai que ses collégues comme son entourage ont laissé paraître ses derniers temps quelques inquiétudes sur le scrutin des législatifs en Juin prochain dans sa circoncription  surtout si Franàçois Hollande est élu à l’Elysée. D’autant plus que Dimanche soir, 184 voix séparaient Nicolas Sarkozy (32,49%)  et François Hollande  (31,91%) dans sa ville,  avec, il est vrai,  un vote très important pour François Bayrou (12,79%) qui montrait que cette ville a une sensibilité  centriste. Mais les « bobos parisiens » qui s’iinstallent dans la Cité dnumérique du Fort d’Issy après l’Ile de Billancourt risquent de peser lourd. C’est pourquoi les résultats du 6 Mai vont peser lourd dans le choix par André Santini de son suppléant ou de sa suppléante…. vanvéen (ne) il va de soi ! 

     

    DES VERTS QUI SE RASSURENT

    Pour les Verts, « les Hauts de Seine sont le département où Eva Joly a fait le meilleurs score en IDF avec 2,7% » selon Lucile Schmid, candidate EELV contre André Santini (NC) qui ne cache pas, malgré tout sa déception sur les résultats nationaux « annoncé par les sondages. Mais le vivre c’est différent ! Il y a l’interrogation sur le pourquoi. Pourtant le contexte n’est pas mauvais pour l’écologie, d’autant plus que la société se sent concernée. On n’est pas arrivé à s’inscrire come une famille politique à partt entière, prêt à exercer le pouvoir. Il fallait montrer une nouvelle façon de faire de la politique et  nous n’avons pas été capable de le faire en répondant à la question « qu’est-ce que c’est l’écologie ? » et de lier les questions sociale et éclogique comme Jean Luc Mélechon a réussi à le montrer » explique t-elle.

     

     «  Ce n’est pas une victoire, ni un succés, et c’était prévisible en même temps, dans la mesure où on  va à une élection présidentielle qui n’est pas vraiment formatée pour nous puisqu’on est contre le système présidentiel. Avec une candidate qui a ses qualités et ses caractéristiques, et surtout avec un accord électoral et programmatique avec le PS, il ne fallait pas s’attendre à faire un résultat plus important. Nous sommes un certain nombre à s’être posé la question d’avoir ou non un ou une candidate. La réalité c’est que si l’espace politique écologiste n’était pas occupé, quelqu’un d’autre l’aurait fait ! » expliquait André Gattolin, sénateur EELV du 92. « Cela ne refléte pas l’influence réelle de l’écologie. Nous n’avons pas trouvé le rythme » ajoutait Lucile Schmid (EELV) qui assure que « les accords PS-EELV ne seront pas remis en cause. François Hollande l’a dit à de multiples reprises ». D’autant plus qu’elle se présente dans une circonscription où le PS a laissé sa place à EELV. « Nous réfléchissons à la stratégie de campagne, sur l’animation de cette législative. Il s’agit de montrer ce qu’est un séputé efficace, travailleur » et « avoir un positonnement local ».

     

    DES SOCIALISTES CONFIANTS

    Les socialistes vanvéens étaient dés hier matin au métro pour distribuer un tract annonçant les résultats à Vanves : « François Hollande en tête à Vanves avec 35% au premier tour. La partie n’est pas encore gagnée, alors on « 6 Mai » tous pour réussir le changement ». Et en fin d’après au centre Ancien, sur la place du VAL avec Guy Janvier, conseiller général (PS) : « Nous sommes satisfait par le score de François Hollande qui n’a jamais été aussi fort avec 35%. Cela tient à tout le travail de porte à porte. Cela montre que les gens ont ras le bol de Nicolas Sarkozy. Ils ont envie d’une autre politique » expliquait il. « Ces résultats traduisent que nous sommes dans une ville de gauche, très marquée à gauche – la totalité des voix de gauche avec l’extrême gauche atteint 55,5% -  où ses habitants rejettent la politique de Sarkozy, ont un besoin de renouveau et de changement » constatait Jean cyril Le Goff, représentant de la Campagne de François Hollande à Vanves en parlant d’une « ville qui a toujours été au centre, et qui penche maintenant au  centre gauche. C’est le résultat du travail des militants socialistes ces 6 points d’écarts entre Nicolas Sarkozy et François Hollande » et notamment du porte à porte. Les secteurs ciblés par le PS de Vanves dans ses visites dans les immeubles s’est traduit dans des bureaux par des scores plus importants pour François Hollande : 38,8% au bureau 6 (Elementaire Gambetta),  38,7% au 10 (Marceau Elémentaire). « Cela confirme que les contacts et les échanges sont payants. Nous allons continuer à mobiliser et nous reprenons dés Mardi soir le porte à porte »   

     

    UN MERCURE QUI MONTE

    Ce lendemain de 1er tour s’est terminé tout d’abord par un communiqué de Bernard Gauducheau qui s’étonnait de l’article paru dans le Parisien de Samedi dernier autour du livre publié par l’ancien Maire de Vanves intitulé « Itinéraire d’un élu socialiste en Sarkozie » : «  Si l’article du journaliste Roberto Cristofoli est fidèle au contenu de l’ouvrage, il semblerait que son auteur, Guy Janvier, soit un homme parfait. Cet individu qualifié d’« homme de conviction et sans ego surdimensionné » aurait alors été la pauvre victime de la « méchante » Sarkozie ». De plus, il s’interrogeait sur la publication du même article la veille du scrutin du 1er tour des élections présidentielles 2012. : « Il y a fort à parier que ce bel exercice d’autosatisfaction « littéraire » repose sur les armes pas toujours très nobles de la caricature et des polémiques politiciennes ...  prouvant que son auteur n’est pas aussi pur et parfait qu’il ne semble vouloir le dire ».

    Ensuite par un anniversaire passé inaperçu : Voilà 30 ans, l’Hôtel Mercure ouvrait ses portes le 23 Avril 1982  à la veille de la Foire de Paris dont l’édition 2012 s’ouvre Vendredi prochain au parc des expositions. L’architecte Martinet avait conçu cet hôtel de 395 chambres répartis sur 8 étages qui formait un énorme quadrilatére renfermant un vaste atrium, le premier en France alors, sur lequel donne toujours un tiers des chambres. Son premier directeur, Michel Freschel,  qui a siégé au Conseil municipal, et cherchait à attirer une clientéle vanvéenne avec la clientéle d’affaire et de tourisme. 30 ans après, il a refait tout son espace restauration.